Combien de jours sans gouvernement ?
Plus ça va, plus je m'en fous...
Qu'ils fassent ce qu'ils, ça n'a pas d'importance...
Je vis dans un pays auquel je ne crois plus. Y ai-je jamais cru d'ailleurs ?
Cette crise m'a enfin permis de comprendre que je n'en avais rien à foutre de la Flandre, que je ne la connais pas et qu'elle ne m'intéresse pas.
J'habite à un jet de pierre d'icelle et de la Hollande. Je suis allé plus souvent aux Pays Bas que chez les Ménapiens.
De la Flandre, je ne connais finalement que la partie du tronçon d'autoroute la traversant et reliant Liège à Bruxelles.
Je ne pouvais m'aventurer dans les Fourons, en un temps que les moins de vingt ne peuvent pas connaitre, qu'avec un certain pincement au cœur, guettant les hordes Eriksoniennes prêtent à fondre sur ma pauvre carcasse francophone.
Bref, je ne me suis jamais senti accueilli dans les provinces du Nord, que ce soit en simple visiteur ou professionnellement.
Je vis dans une Région à laquelle je ne crois plus, ou plutôt je ne crois plus à ses "élites" politiques.
Entre compromissions, prébendes, prévarications, détournements, gaspillages, acquits industriels qu'on pensaient éternels et projets politiques ubuesques, je ne vois poindre aucune éclaircie.
Depuis "l'affaire de Louvain" nos hommes politiques wallons et francophones ont été infoutu d'avoir la moindre vision d'un futur possible pour les francophones, hormis l'une ou l'autre posture défensive matamoresque.
Quelqu'un peut-il me dire où trouver un projet wallon ou francophone pour les vingts ans à venir en fonction des scénarios possibles ?
Rappelons-nous opportunément les négociations pour je ne sais quel gouvernement Dehaene où face aux Flamands calculant les couts et bénéfices des transferts sur des ordinateurs Compaq, les francophones disposaient d'une feuille de papier et d'un crayon.
Cela a-t-il changé ?
La réponse est à l'évidence NON...
Alors qu'ils fassent ce qu'ils veulent, mais surtout qu'ils nous foutent la paix...
Qu'ils fassent ce qu'ils, ça n'a pas d'importance...
Je vis dans un pays auquel je ne crois plus. Y ai-je jamais cru d'ailleurs ?
Cette crise m'a enfin permis de comprendre que je n'en avais rien à foutre de la Flandre, que je ne la connais pas et qu'elle ne m'intéresse pas.
J'habite à un jet de pierre d'icelle et de la Hollande. Je suis allé plus souvent aux Pays Bas que chez les Ménapiens.
De la Flandre, je ne connais finalement que la partie du tronçon d'autoroute la traversant et reliant Liège à Bruxelles.
Je ne pouvais m'aventurer dans les Fourons, en un temps que les moins de vingt ne peuvent pas connaitre, qu'avec un certain pincement au cœur, guettant les hordes Eriksoniennes prêtent à fondre sur ma pauvre carcasse francophone.
Bref, je ne me suis jamais senti accueilli dans les provinces du Nord, que ce soit en simple visiteur ou professionnellement.
Je vis dans une Région à laquelle je ne crois plus, ou plutôt je ne crois plus à ses "élites" politiques.
Entre compromissions, prébendes, prévarications, détournements, gaspillages, acquits industriels qu'on pensaient éternels et projets politiques ubuesques, je ne vois poindre aucune éclaircie.
Depuis "l'affaire de Louvain" nos hommes politiques wallons et francophones ont été infoutu d'avoir la moindre vision d'un futur possible pour les francophones, hormis l'une ou l'autre posture défensive matamoresque.
Quelqu'un peut-il me dire où trouver un projet wallon ou francophone pour les vingts ans à venir en fonction des scénarios possibles ?
Rappelons-nous opportunément les négociations pour je ne sais quel gouvernement Dehaene où face aux Flamands calculant les couts et bénéfices des transferts sur des ordinateurs Compaq, les francophones disposaient d'une feuille de papier et d'un crayon.
Cela a-t-il changé ?
La réponse est à l'évidence NON...
Alors qu'ils fassent ce qu'ils veulent, mais surtout qu'ils nous foutent la paix...
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